30 novembre 2011
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11:32
VARANASI (BENARES)
Difficile de pouvoir faire un bilan de ces 3 jours passés à VARANASI; Moi j'adore mais il y a tellement de misère qu'il est difficile de pouvoir adorer.
comme le dit le guide du routard il n'y a pas de centre ville, pas de tourisme, uniquement une ville pour la religion. Une grande possibilité est offerte aux non hindous de pouvoir voir ce qui se passe dans cette ville.
il y a une opposition importante entre le bruit de la ville avec klaxons, voitures, rickshaws, animations... on arrive au bout de la rue, des rues et là on descend des marches pour rencontrer le GANGE et là plus de bruit, mais un recueillement, et des activités religieuses omniprésentes.
les ablutions dans le GANGE, les crémations, les cérémonies, les`mariages... Il y a une ferveur, un nombre important d'indiens, d'hindous qui se pressent de toute l'INDE pour faire les rituels de cette religion.
La pauvreté, la misère sont partout et cela freine considérablement le regard sur cette ville. Les mendiants, les handicapés, les enfants, les vieillards sollicitent tout le temps le occidentaux, et les riches indiens pour avoir quelques pièces. C'est dur de voir des enfants qui visiblement n'ont pas à manger régulièrement, c'est dur de voir des handicapés, mutilés, fair la`manche sans pouvoir marcher pour certains. Il y a une ou deux photos 'handicapés dont une personne qui souffre visiblement d'une excroissance faciale (ce n'est rien de le dire) qui gène toute personne le croisant.
Les mamans qui réclament du lait pour les enfants, à manger pour eux... Tout cela bouleverse.
Pourtant cette ville est belle avec le GANGE qui forme une courbe parfaite, les croyants qui vivent leur religion avec ferveur et qui semblent épanouis par leur présence sur cette rive.
les crémations (300 par jour), sont très organisées avec précision et les photos sont strictement interdites. Cela retourne de voir des corps ainsi brûler. Mais il faut prendre du recul, beaucoup de recul pour ne pas être dérangé. Il y a l'odeur, présente, tenace, la vue, difficile. A vrai dire la cérémonie de la crémation se regarde quelques minutes et puis la retenue fait que notre présence n'est pas nécessaire.
J'ai pu donner plusieurs peluches aux enfants qui avaient toujours le même regard illuminé. La première de la série, celle de STEPHANE a été très sympa car je suis re passé une heure après et la petite fille avait toujours la peluche à la main et jouait avec.
je vais mettre les photos sur le blog.
Je prends le train ce soir de nuit pour être demain matin de bonne heure dans une ville où il y a un très beau temple (connu de tous, pour entre autre les sculptures érotiques).
Les autres peluches données étaient de CAROLINE, SYLVETTE, CECILE.
Difficile de pouvoir faire un bilan de ces 3 jours passés à VARANASI; Moi j'adore mais il y a tellement de misère qu'il est difficile de pouvoir adorer.
comme le dit le guide du routard il n'y a pas de centre ville, pas de tourisme, uniquement une ville pour la religion. Une grande possibilité est offerte aux non hindous de pouvoir voir ce qui se passe dans cette ville.
il y a une opposition importante entre le bruit de la ville avec klaxons, voitures, rickshaws, animations... on arrive au bout de la rue, des rues et là on descend des marches pour rencontrer le GANGE et là plus de bruit, mais un recueillement, et des activités religieuses omniprésentes.
les ablutions dans le GANGE, les crémations, les cérémonies, les`mariages... Il y a une ferveur, un nombre important d'indiens, d'hindous qui se pressent de toute l'INDE pour faire les rituels de cette religion.
La pauvreté, la misère sont partout et cela freine considérablement le regard sur cette ville. Les mendiants, les handicapés, les enfants, les vieillards sollicitent tout le temps le occidentaux, et les riches indiens pour avoir quelques pièces. C'est dur de voir des enfants qui visiblement n'ont pas à manger régulièrement, c'est dur de voir des handicapés, mutilés, fair la`manche sans pouvoir marcher pour certains. Il y a une ou deux photos 'handicapés dont une personne qui souffre visiblement d'une excroissance faciale (ce n'est rien de le dire) qui gène toute personne le croisant.
Les mamans qui réclament du lait pour les enfants, à manger pour eux... Tout cela bouleverse.
Pourtant cette ville est belle avec le GANGE qui forme une courbe parfaite, les croyants qui vivent leur religion avec ferveur et qui semblent épanouis par leur présence sur cette rive.
les crémations (300 par jour), sont très organisées avec précision et les photos sont strictement interdites. Cela retourne de voir des corps ainsi brûler. Mais il faut prendre du recul, beaucoup de recul pour ne pas être dérangé. Il y a l'odeur, présente, tenace, la vue, difficile. A vrai dire la cérémonie de la crémation se regarde quelques minutes et puis la retenue fait que notre présence n'est pas nécessaire.
J'ai pu donner plusieurs peluches aux enfants qui avaient toujours le même regard illuminé. La première de la série, celle de STEPHANE a été très sympa car je suis re passé une heure après et la petite fille avait toujours la peluche à la main et jouait avec.
je vais mettre les photos sur le blog.
Je prends le train ce soir de nuit pour être demain matin de bonne heure dans une ville où il y a un très beau temple (connu de tous, pour entre autre les sculptures érotiques).
Les autres peluches données étaient de CAROLINE, SYLVETTE, CECILE.